8  Conclusions

C’est le soleil qui règle le climat. La concentration en CO2 est un effet de la température (et des émissions anthropiques) au lieu d’en être la cause.

Un modèle simple permet d’expliquer les températures observées depuis 1850 jusqu’à maintenant sur la seule base du rayonnement solaire, avec un éventuel terme harmonique complémentaire, sans devoir recourir à un hypothétique effet de serre radiatif du CO2.

Une formule simple, analogue à celle de Myhre, montre que la concentration en CO2 atmosphérique naturel dépend de l’anomalie de température globale. Cette même formule est lue dans le mauvais sens par le GIEC qui confond cause et effet.

Il a suffi de trente années de manipulations politiques pour pousser les sciences climatiques dans la mauvaise direction et les amener dans une situation digne du moyen-âge. En dépit d’hypothèses qui heurtent le bon sens, le GIEC a réussi à ranger de son côté les médias, une grande partie du monde politique et de trop nombreuses Académies des Sciences, en faisant simplement valoir l’argument d’un prétendu consensus, ce qui est contraire à toute démarche scientifique.

Dans un futur pas très lointain, le Soleil va vraisemblablement montrer qu’il est le principal maître à bord en matière de climat. Aucun modèle mathématique ne sera nécessaire pour le comprendre. Le naufrage de nos démocraties, manipulées par un agenda politique pseudo-scientifique, est en cours. Il est préférable de ne pas attendre pour prendre conscience que nos sociétés sont en train de déraper et de s’interroger dès aujourd’hui sur les causes de ce dysfonctionnement.

Se croyant dans un monde imaginaire où 2 et 2 pourraient faire 5, les signataires des Accords de Paris ont décidé que nous devons nous lancer dans des plans de transition énergétique qui auront un coût financier astronomique sans aucun impact discernable sur le climat.

L’impact sur le PIB, résultant de la fermeture ou délocalisation d’industries dites polluantes car générant des quantités importantes de CO2, serait énorme pour ne pas dire suicidaire. Il en va de même sur le plan social, vu le nombre de personnes qui perdraient leur emploi. Sans parler des finances publiques, déjà exsangues dans de nombreux pays, et qui seraient sollicitées au-delà du supportable, à coups de subsides, allocations, avantages fiscaux et autres mécanismes de marché.

Tenter de compenser ces dépenses par des taxes carbone se répercuterait en fin de compte sur le coût de la vie, induisant une inflation galopante et une précarité énergétique accrue. Tous les ingrédients sont réunis pour engendrer des mouvements sociaux, comme celui des gilets jaunes.

L’objectif du GIEC est de limiter l’exploitation des ressources terrestres et d’imposer un agenda politique non démocratiquement choisi sous le prétexte d’une soi-disant urgence climatique qui dépasse les souverainetés nationales. (Voir ici, ici, ici, ici, ici et ici). Ses représentants ne s’en cachent d’ailleurs pas (Voir ici). Malheureusement, les politiques climatiques préconisées provoqueront un appauvrissement généralisé (Voir ici), et il vaudrait bien mieux allouer à des mesures de nivellement par le haut, les montants inconsidérés qu’elles requièrent.

Il est urgent de sauver la planète, non pas du climat, mais de ceux qui ont perdu tout bon sens et tout esprit critique. Ils sont prêts à mettre en œuvre leurs plans complètement irrationnels. Il faut réagir dès maintenant. Une entreprise de Bill Gates veut pulvériser de la poussière dans l’atmosphère pour diminuer le rayonnement solaire. Faut-il vraiment refroidir la planète alors que nous sommes vraisemblablement en route vers un nouveau petit âge glaciaire ? Dans les années 1970, on s’inquiétait de la diminution des températures depuis 1945, et des “experts” mal informés ont suggéré de répandre de la suie sur les Pôles pour réchauffer la Terre en diminuant son albédo.

Avec des médias complètement hermétiques au climato-réalisme, il ne reste que le bouche-à-oreille qui peut néanmoins être très efficace dans sa version moderne. Tous les arguments sont là pour remettre à sa place n’importe quel alarmiste climatique.

Les médecins ont continué à pratiquer les saignées pendant 200 ans après qu’il ait été prouvé que cela n’avait aucun sens. La situation peut se normaliser plus rapidement à condition de ne pas garder la vérité pour soi. Si vous voulez quitter le moyen-âge dans lequel vous avez été replongés, et préférez vivre dans un monde débarrassé de discours climatiques anxiogènes infondés, diffusez ce message en masse sans plus tarder. Les générations futures vous en remercieront.